En 2016, un quart des jeunes a renoncé à un emploi et 21 % à une formation en raison de difficultés de transport, et plus de la moitié a dû restreindre sa vie sociale et ses activités de loisirs faute de moyens de transport adaptés.
C’est ce que révèle un focus de la seconde édition du Baromètre sur la jeunesse 2017 de la Direction de la jeunesse, de l’éducation populaire et de la vie associative (DJEPVA), une enquête nationale menée auprès de 4 500 jeunes réalisée par le CRÉDOC et l’INJEP.
Ces renoncements s’expliquent d’abord par le coût des transports, trop important pour de nombreux jeunes. Ils sont aussi à relier au caractère anxiogène des déplacements évoqué par près de trois jeunes sur dix. Ces difficultés sont plus fréquentes chez les jeunes les plus précaires, venant ajouter des obstacles supplémentaires à leur intégration.
INJEP - 2017-11-29 - Etudes et recherches - N° 6 • Octobre 2017
C’est ce que révèle un focus de la seconde édition du Baromètre sur la jeunesse 2017 de la Direction de la jeunesse, de l’éducation populaire et de la vie associative (DJEPVA), une enquête nationale menée auprès de 4 500 jeunes réalisée par le CRÉDOC et l’INJEP.
Ces renoncements s’expliquent d’abord par le coût des transports, trop important pour de nombreux jeunes. Ils sont aussi à relier au caractère anxiogène des déplacements évoqué par près de trois jeunes sur dix. Ces difficultés sont plus fréquentes chez les jeunes les plus précaires, venant ajouter des obstacles supplémentaires à leur intégration.
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